"According to the early sixteeenth-century etiquette manual, [Castiglione]'s The Book of the Courier, sprezzatura, the handling of the complexities of life with a light and nonchalant touch, a 'studied carelessness', was a much recommended Renaissance skill.'"
-Caroline Moorehead, The Times Literary Supplement (July 25, 2014), p. 9.
JB Comment: Times have changed ... although the sixteenth-century was certainly no better than ours.
Castiglione image from
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Full Disclosure. One of my grad school papers at Princeton U in the early 70s was on Castiglione's idea of the "l'honnête homme." I cite from Larousse:Déjà présent chez Montaigne, la figure de l'honnête homme prit son expression définitive dans les œuvres classiques de la seconde moitié du xviie s. Il représentait l'idéal d'une société éprise d'ordre et d'équilibre, influencée par le cartésianisme, à l'époque de l'absolutisme monarchique et du classicisme.
Doué d'intelligence, mais aussi de courage et de générosité, l'honnête homme devait rester maître de lui-même, ne pas faire étalage de son savoir et se conformer aux bienséances. Dans son Honnête Homme ou l'Art de plaire à la cour (1630), qui s'inspire du Courtisan (1528) de B. Castiglione, N. Faret en brosse le portrait exemplaire : l'homme de cour cherche à gagner la faveur d'un prince et le sert, manifeste de la prudence, est à la fois galant et élégant. Parmi les autres théoriciens de l'« honnêteté », citons Guez de Balzac ou encore le chevalier de Méré (De la conversation, 1677).I did mention in my paper, if my memory serves me right, Pascal's timeless comment on the tensions between the "nice guy" (USA version of the the "honnête homme") and the "philosopher/thinker" (all this of course goes back to Plato):
Poète et non honnête hommeI don't need to remind anyone of this: the tension, since antiquity, between two activities: thought to search for eternal Truth and words to obtain earthly power (See Plato's Gorgias).
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